Repères historiques

Mis à jour le 19 déc 2023

Né sur la base d'antennes délocalisées des universités toulousaines, Champollion est aujourd'hui devenu un Etablissement Public à Caractère Scientifique Culturel et Professionnel. Sa création par décret le 18 novembre 2015 marque la concrétisation d’une ambition commune au service des territoires : celle d’un établissement de plein exercice implanté en villes moyennes, pluridisciplinaire et multisites, ancré sur des campus vivants et ouverts sur leur environnement.

1992 - Emergence des antennes universitaires

Le dossier de création d'une unité d'enseignement supérieur à Albi apparait au milieu des années 80. Il se positionne dans un contexte privilégiant le développement d'antennes délocalisés d'universités de premier plan dans les villes moyennes (Plan Université 2000). La première délocalisation intervient en 1992. Il s'agit d'un DEUG de Droit, ouvert en partenariat avec l'Université Toulouse 1. Les 3 universités toulousaines vont progressivement implanter un ensemble de DEUG, des DESS et un IUP. En quelques années, les effectifs évoluent de 265 à 1500 étudiants.

2002 - Création du CUFR

Le centre universitaire de formation et de recherche du Nord-Est Midi-Pyrénées est créé en 2002, avec le statut d’établissement public d'enseignement supérieur à caractère administratif placé sous la tutelle du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Il réunit quatre sites accueillant les antennes universitaires toulousaines : Albi, Rodez, Figeac et Castres. Il bénéficie d'une autonomie financière et administrative, mais reste dépendant des Universités Toulousaines pour la délivrance des diplômes.

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2015 - Création de l'INU Champollion

Au premier décembre 2015, l’institut national universitaire Jean-François Champollion succède au CUFR, avec le statut d’établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel. L’institut est associé à l’université fédérale de Toulouse Midi-Pyrénées. Il est habilité à délivrer les titres et diplômes nationaux, ainsi qu'à couvrir les missions dévolues classiquement aux universités de plein exercice.

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