RDV culturels

Scène ouverte tous styles artistiques #2 - 2024-2025

Si vous êtes musicien.ne, vous pouvez jouer seul·e ou à plusieurs. Des instruments seront à votre disposition (guitare électro acoustique, guitare bass, ukulélé, piano synthétiseur, batterie, micros) et vous pouvez également apporter votre propre instrument.

RDV mercredi 29 janvier de 18h30 à 21h30 au Foyer Pascal(e) Ambic
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« L’art est un radar » : les artistes plasticiens et les technosciences au second XXème siècle

À partir de la fin du XIXème siècle, au sein des sociétés occidentales modernes, l’art revêt la mission de former la sensibilité de l’« Homme » et ravive les fantasmes de l’artiste-inventeur au sein de l’avant-garde, fantasmes qui persistent au lendemain de la Seconde Guerre mondiale à travers le paradigme « art et technologie ». 

[Spectacle] Menaces en tous genres, micro-pièces inquiétantes

6 micro-pièces, 6 menaces différentes, interrogeant de façon rythmée et percutante notre rapport à un monde devenu illisible. Le public se voit transporté par le texte de David Conrad (en compagnie des Pouzouères) dans des univers où le temps n’existe plus : fantastique, absurde, thriller psychologique… Ainsi, dans « La file d’attente », tous attendent les personnes aux grandes mains. Dans « Le quai de la gare », un homme poireaute pour un train qui ne vient pas ; une femme passe par là et lui offre un cactus.

[Concert] La Meute, poésie sauvage

Groupe de spoken-word drômois, La Meute a le goût des mots. Ils peuvent être bruts, directs, incisifs. Ils peuvent être doux, poétiques, libérateurs. Comme un coup de poing dans un gant de velours. La Meute slame, chante, crie, chuchote.  En 2019, à l'initiative de Margaux Seon, La Meute naît avec une envie viscérale de scander le verbe. Le texte, parlé-chanté, y est à l'honneur et constitue l'ADN du projet. L'identité musicale et les influences sont variées : chanson, rock, pop, et évidemment spoken word.

[Court-Métrage] L'Heureux Court du Jeudi

Le court métrage, c’est le cinéma en mode shooter, à visionner cul sec. Au départ, un court métrage désigne un film dont la longueur est inférieure à l’équivalent de 900 mètres de pellicule, soit moins de 33 minutes, représentant moins de trois bobines en 35 millimètres. Il existe dans la même diversité de formes, de techniques et de genres que le long métrage : documentaire ou fiction, d'animation ou en prise de vues réelles, etc.

[Concert] Johannes, symphonies obsessionnelles

Multi-instrumentiste délicat, Johannes aime habiller l’intime de symphonies de poche. Quelque part entre Jay-Jay Johanson et Klaus Nomi, Johannes jongle avec les strates de voix et d’instruments (un violon, une guitare, un clavier) pour édifier son palais de verre. La douceur acoustique des cordes y côtoie les aspérités des machines. Le dénuement flirte avec l’orchestral, le fragile avec l’effervescent, l’aérien avec le tranchant. Une mise à nu sensible, sur le fil.

[Concert] Yidjam, duo sino-mongol

Yidjam est un duo tel qu’on a rarement l’occasion d’en écouter sous nos latitudes. Mais au-delà de l’exotisme, c’est sa puissance musicale et sa force de suggestion qui font de sa venue un événement à ne surtout pas manquer. Surnaturelle, la voix dédoublée du chanteur diphonique de Mongolie, Dalai, s’élève et s’entrelace avec celle, presque humaine, de sa vièle à tête de cheval, le morin khuur. Ensorceleuse, sa complice chinoise Jiang Nan fait rugir les sonorités fauves de la cithare guzheng et chante un blues du Fleuve bleu.

[Concert] Pelouse, post-chanson

Dans ce trio caustique, un saxophone fiévreux, un synthé et une basse épaisse dialoguent avec des textes parlés-chantés, sensibles, tantôt intimes, politiques, ou poétiques. Cet univers musical, à la fois sauvage et subtil, entrechoque rock électronique et chanson acide, quelque part entre Dominique A et LCD Soundsystem, entre Brigitte Fontaine et Morphine. Sur scène, Pelouse, maniant l’art du décalage avec finesse, n’a pas peur de nous mener vers des abîmes.

[Spectacle] L'Évitation, solo psycho-risible

Après s’être produit au Retour du Jeudi comme Presqu’idigitateur, Thierry Forgue revient pour une élucubration clownesque agrémentée de magie, de théâtre d’objets et d’images sonores. Maxime Martin, personnage psycho-risible, aime les feux d’artifice. Avec sa glacière et ses objets fétiches, il attend patiemment que ça commence. Le temps passe... et comme toujours il tente de l’éviter. Il s’occupe. Il tue le temps. Il minute sa vie.