Concours Paul-Boncour 2022

L'art de plaider
Publié le 15 December 2021

Le concours de plaidoirie Paul-Boncour, initié par l'association Corpo Droit de l'INU Champollion, fait son retour sur le campus d'Albi pour sa quatrième édition. Rendez-vous le 25 et 26 janvier pour les manches qualificatives, le 02 février pour la demi-finale et le 09 février 2022 pour la finale.

Le concours de plaidoirie est un spectacle créé par la rencontre d’idées entre deux participants. Chaque concurrent devra défendre un point de vue imposé sur un sujet donné une semaine à l'avance et aura 10 minutes pour convaincre le jury, composé de professionnels du droit (avocats, magistrats) et de professeurs de l'INU Champollion. Chaque manche est à élimination directe. Apprendre à maîtriser la parole, argumenter et convaincre : l’expérience est tout aussi ludique que formatrice.

Qui peut participer ?

Tous les étudiants de l’INU Champollion peuvent participer quel que soit leur filière d’étude. Le concours demande une réflexion sur des sujets ouverts à tous, qui ne nécessitent pas forcément de culture juridique. L'an dernier les concurrents ont ainsi pu débattre sur les sujets tels que Rire de tout aujourd’hui est-il encore possible ? Les réseaux sociaux : une nouvelle ère de la manipulation des sociétés ?

Les inscriptions débutent le 6 décembre et se clôturent le 9 janvier 2022.
Inscription par mail à corpodroitalbi@hotmail.com.

 

  • Manche 1 : 25/01 et 26/01
  • Manche 2 : 02/02
  • Finale : 09/02

18h00 / Auditorium 1, maison multimédia

Qui est Paul-Boncour ?
Joseph Paul-Boncour, né le 4 août 1873 à Saint Aignan dans le Loir et Cher, et mort le 28 mars 1972, était un avocat et un homme politique français. Député du Tarn de 1928 à 1931, il est devenu président du conseil en 1932, poste qu'il occupera pendant 2 mois. Il représentera également la France en 1936 au sein de la Société des Nations. Bien que ces postes soient pourvus d'un grand prestige, ce sont ses qualités d'orateur qui feront de lui un grand homme du XXème siècle. Qualités qu'il mettra en pratique lors du procès de Raoul Vilain, assassin d'une autre grande figure française et tarnaise du XXème siècle, Jean Jaurès dont notre avocat était chargé de défendre la famille.