Conférences

Imaginez : les extraterrestres sont là ! Sur Terre. À côté de chez vous… Et d’emblée se pose la question cruciale qui accompagne l’extraordinaire événement : comment leur parler ? Comment s’en faire comprendre ? Frédéric Landragin, docteur en informatique-linguistique, directeur de recherche au CNRS, fait dialoguer science-fiction et linguistique : exposant les bases des sciences du langage, il questionne la nature des langues et s’interroge sur les modalités d’un premier contact.

Florence Durret, astronome à l'Institut d'astrophysique de Paris et à l'Université Pierre et Marie Curie nous parlera de ces femmes qui ont joué un rôle significatif dans la progression des connaissances avant d'évoquer son sujet de recherches : les amas de galaxies.

Chaque "Café Géo" est organisé autour d'une présentation introductive sur la question du jour réalisée par un universitaire, avant de laisser place à un échange avec le public. Lors des séances portant sur une question ayant une incidence sur le territoire local, un acteur du monde socio-politico-économique local apporte en complément son point de vue ou son expérience en la matière.

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Chaque "Café Géo" est organisé autour d'une présentation introductive sur la question du jour réalisée par un universitaire, avant de laisser place à un échange avec le public. Lors des séances portant sur une question ayant une incidence sur le territoire local, un acteur du monde socio-politico-économique local apporte en complément son point de vue ou son expérience en la matière.

Le champ de la géographie des sexualités s’est principalement structuré à partir d’études urbaines, voire métropolitaines, pour des raisons qui tiennent davantage à la saisie de l’objet qu’à sa nature. Cette orientation a durablement pesé sur sa constitution. Ce tropisme, qu’Halberstam qualifie de métrocentrisme, a souvent conduit à faire l’économie d’une investigation empirique du rural tout en englobant sous ce singulier des contextes extrêmement hétérogènes.

À partir de l’exemple de la métropole toulousaine, Fabrice Escaffre partagera ses analyses et ses interrogations du phénomène de métropolisation.

Créé et exposé « hors les murs », le street art est fondamentalement contextuel. L’œuvre adhère à un support choisi dans l’espace public, alors que physiquement l’artiste opère en extérieur. Le simple fait de peindre un lieu public pour susciter la réaction des passants fait œuvre.

Dans le cadre du colloque international Pierres et dynamiques urbaines (informations ici).

Tout processus créatif part d’une intention, d’un souhait d’expression. Cependant, une oeuvre est-elle réellement le fruit d’une expression personnelle et intemporelle ? L’artiste n’est-il pas influencé par ce qui l’entoure, notamment par des cultures extérieures ? La mondialisation efface-t-elle les particularités et la singularité de la culture de l’artiste ? Existe-t-il un art “neutre”, dépourvu de toute influence extérieure ? Est-ce une volonté de l’artiste de se laisser influencer par une culture extérieure ou de s’en isoler ?